BWIN est une société autrichienne (anciennement BetandWin) fondée en 1999 avec son siège à Gibraltar. C’est aujourd’hui le leader mondial des jeux en ligne (paris sportifs, casino, poker). Il est partenaire de certains clubs de football parmi les meilleurs du monde comme Le Real Madrid, le Bayern Munich ou le Milan AC. Il arrive officiellement sur le marché francais dès l’ouverture de l’ARJEL en 2010. Bwin propose aussi du poker en ligne.
Au niveau des cotes ça reste assez classique sauf pour les cotes
moyennes qui sont intéressantes par rapport aux autres bookmakers. BWIN
s’est fait une spécialité à ce niveau certainement pour attirer les
joueurs avertis.
L’ergonomie du site est très bonne. On ressent toute l’expérience de l’entreprise. Il y a une quantité impressionnante de sports à parier mais aussi de paris disponibles. On voit régulièrement plus de 60 paris sur le même match. Le live est également très bien fait puisque l’on peut suivre certaines rencontres en streaming et parier en même temps sur le match. Le cashout est présent depuis quelques mois. En bref c’est un site complet auquel il ne manque rien. L’application est très bien aussi mais peut s’avère complexe au début lorsqu’il faut trouver un sport moins médiatisé ou une rencontre de seconde zone mais on prend quand même l’habitude assez rapidement.
Il y a une multitude de moyens de paiement pour ce site, vous trouverez forcément ce qui vous conviendra le mieux.
Le bonus par contre n’est pas le point fort du site (bien qu'il soit tout de même de 120€). En effet il rembourse le premier pari à hauteur de 120€ maxi mais en pari gratuit. Donc si vous perdez votre premier pari de 120€ vous vous retrouver avec un pari gratuit de cette somme. Pari gratuit signifie que non seulement vous ne pouvez pas le retirer mais en plus, en le jouant, vous perdez la mise. Admettons si vous gagner votre pari de 100€ sur une cote à 2 vous vous retrouvez avec 100€ et pas 200.
Points FortsService client
La quantité de paris
La puissance du groupe
Points faiblesLe bonus
Les « cotes faibles »